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 2011 

A la tristesse et au désarroi que la perte d’un être cher laisse dans la vie du peintre, à la disparition et à l’absence d’un ami en particulier, Frank Jons répondra par quatre toiles d’une puissance presque surréelle, à l’image de l’exutoire que le medium de la peinture lui a permis. La Pluie Noire, le Brasier, Les Craquelures de la Vie et Repose en paix sont des toiles d’une profondeur nouvelle. Tel un rideau, les coulures verticales laissent deviner un espace en retrait, profond, presque inaccessible.

A l’heure de l’apaisement, la sensation d’un autre possible induit une confiance qui expérimente le champ spatial, ouvrant sur des cadres en aplats.

De ces expérimentations découlent Les Filaments rouges et plus encore Un peu de Verdure, toile d’aboutissement entre la maitrise du champ spatial et la profondeur dans lesquels la matière trouve l’écrin pour s’exprimer en toute verticalité.

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